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Reprise du spectacle « Le Septième Kafana » au Théâtre de l’Opprimé

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Le Théâtre de l’Opprimé présente, jusqu’au 5 mai prochain, le spectacle Le Septième Kafana des auteurs moldaves Dumitru Crudu, Mihai Fusu et Nicoleta Esinencu. La pièce est traduite par Aude Rossel et publiée aux Editions L’Espace d’un instant (2004).

Mise en scène - Nathalie Pivain, assistante -Céline Meyer, avec Céline Barcq, Frédéric Gustaedt, Nathalie Pivain, Salomé Richez. Lumière Raphaël Rosa, régie générale Dominique Dolmieu.

C’est une coproduction Fractal Théâtre et la Maison d’Europe et d’Orient, avec l’aide à la production d’Arcadi et le soutien de la Direction régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France, Ministère de la Culture et de la Communication.

La pièce sera jouée du 24 avril au 5 mai à 20h30 du mercredi au samedi et à 17h00 les dimanches.

Tarif plein : 16 € / Tarif réduit : 12 € / Tarif groupe : 10 €

Adresse du théâtre :

78/80 rue du Charolais

75012 Paris

Tél : 01 43 45 81 20

www.theatredelopprime.com

Métro Reuilly Diderot (lignes 1 et 8), Montgallet (ligne 8) ou Gare de Lyon (lignes 1 et 14, RER A et D)

Bus 29 (Charles Bossut)

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Le Septième Kafana est un projet sur les femmes vendues, les esclaves sexuelles et les femmes revenues. Ses trois auteurs sont des artistes engagés en République de Moldavie. Ils ont rencontré ces femmes, les ont écoutées et réécrites au plus près de leurs mots. Les « marchandises », comme les nomment les proxénètes, sont utilisées jusqu’à l’effacement. Parfois, des femmes réalisent l’impossible, elles s’échappent. Le Septième Kafana est cet endroit des survivantes où s’entend la parole de celles à qui jamais elle n’est donnée.

« Kafana » signifie « bar à café » dans certaines régions d’Europe du Sud-Est ; il désigne aussi le bordel. Les femmes sont vendues d’un kafana à l’autre. Le nombre sept est symbolique et réel à la fois. Au-delà de sept kafanas une femme perd la vie ou sombre dans la démence.

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