En réponse à l’article :
« Ne fermez pas le livre… », un appel immortel de Grigore Vieru
Je le sais, un jour, à minuit ou au soleil levant, Mes yeux s’éteindront au-dessus de Son livre, J’arriverai alors à sa moitié peut-être, Mais ne fermez pas le livre … Laissez-le ouvert pour que mon fils ou ma fille Continuent à lire ce que leur père n’a pas réussi à lire. Les lignes (…)