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Us et coutumes

Un métier très populaire en Moldavie jadis, la tonnellerie n’a plus l’ampleur d’autrefois et ne persiste que grâce à l’enthousiasme des vieux tonneliers.

Vasile Vulpe a 29 ans et il est originaire du village moldave de Zaim. Il y a sept ans, il a quitté son pays, à la recherche d’une meilleure vie. Vasile a dû travailler d’arrache-pied pour se faire une place sous le soleil loin de sa patrie. En 2016, il s’est acheté un appartement à Milan, (...)

Les Gagaouzes de Moldavie préservent encore beaucoup de traditions séculaires. D’antan, ils divisaient l’année en deux cycles : printemps-été et automne-hiver. Chez les peuples turciques, cette idée de la division cyclique de l’année repose sur deux fêtes importantes : Kasym et Hederlez. Kasym (...)

Le tapis tissé à la main est une pièce précieuse du patrimoine culturel moldave. C’est le résultat des efforts d’art collectif, des visions artistiques construites au fil du temps par de nombreuses générations. Les tapis se transmettaient en héritage, étant un signe du bien-être.

Svetlana Karahan, une passionnée pour le costume traditionnel moldave, a fait de sa passion une affaire prospère.

Je le regardais tous les soirs, comme un feuilleton, avant de m’endormir. Je suivais ses lignes, comme dans un livre, jusqu’à ce que mes yeux se fermaient et je commençais à faire des rêves de cerfs dans des prairies avec des fleurs qui empruntaient les couleurs et les arômes de ma pièce (...)

Les habitants du village moldave de Zagarancea ont décidé de joindre leurs efforts pour construire une maison traditionnelle moldave sur le territoire du musée local en plein air. « Chez grand-mère et grand-père » - c’est le nom de la future maison-musée. Elle sera construite selon les traditions et les techniques architecturales d’antan.

L’homme bénit le lieu, dit un proverbe. A Palanca, un village situé à environ 60 de km de Chișinău, il existe un endroit où le temps semble s’être arrêté. Plongé dans la verdure, il paraît un paysage des contes de fée.

Tout le monde dans le village moldave de Drochia connaît mère Hanuța – elle garde dans sa maison un trésor inestimable : des tapis traditionnels moldaves qu’elle a tissés ensemble avec sa mère et sa grand-mère. Le plus ancien et le plus cher pour elle est son tapis dotal d’environ 150 ans.

Depuis plus de 20 ans, l’artisane Viorica Visitiu crée de véritables œuvres d’art à l’aiguille. Cette passion est arrivée tard dans sa vie et dans des circonstances assez dramatiques.

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